Il est foncé en 1852. C'est un puits d'extraction de 2,5 m de diamètre. Il est remblayé avant 1946.
Le fonçage du puits date de 1852 ou 1854, il sert de puits de recherche mais il est inondé dès 1858. Il est reconverti en puits d'exhaure des eaux. Entre 1865 et 1870, la salle des machine est utilisée comme ateliers pour la cokerie. Le pignon de la salle des machines est sauvegardé sur place. Profondeur du puits finale 252 m.
Il est foncé en 1854 à 3 m de diamètre et 249 m de profondeur. Il est remblayé avant 1946.
Il est foncé en 1853. C'est un puits de reconnaissance du gisement entre Le Creusot et Blanzy. Il atteint 337 m de profondeur. Il est remblayé en 1890. Il n'est pas localisé avec précision.
Il est foncé en 1854. Il atteint 5 m de profondeur avec 2 ou 3 m de diamètre. Il servait à l'extraction. Il est remblayé avant 1946.
Il est foncé en 1854 à 432 m de profondeur et un diamètre compris entre 3,7 et 4 m. C'est un puits d'épuisement qui est abandonné en 1921 après son noyage. C'était le puits le plus profond de la concession du Creusot. Le dernier bâtiment restant a été détruit dans les années 2010-2011.
Il atteint 80 m de profondeur avec un diamètre de 3,5 m.
Il est foncé en 1855 à 68 m de profondeur et 2 ou 3 m de diamètre. Il est remblayé avant 1946.
Les puits sont foncés en 1855. Saint Pierre a 375 m de profondeur pour un diamètre de 3 m et Saint Paul 298 m de profondeur pour le même diamètre. Les puits Saint Pierre et Saint Paul sont arrêtés en 1911, remblayés en 1938-1939. Ces deux puits d'extraction sont remblayés définitivement en 1944.
Il est foncé en 1876 à 2 m de diamètre et 86 m de profondeur. C'est un puits d'extraction remblayé avant 1946.
Ce puits d'extraction, foncé en 1898, atteint 205 m de profondeur pour 3,5 m de diamètre. Il est achevé en 1921 mais il est remblayé en 1922.
Jean-Louis HUOT pour l'APPHIM